jeudi 28 juillet 2011

l'art de voyager léger


C'est comme une délocalisation de la Table ...
Pour ces quatre jours de camping, j'ai pourtant limité la charge ...
 Les incontounables :
-la tente huit places pour moi tout seul,parce que à partir d'un certain âge on trouve assez lourd l'idée de se contorsionner pour s'habiller . Je m'autorise donc  ce brin de confort bourgeois qui consiste à ne pas avoir à ramper
-les armes en tout genre pour le tai chi (bâtons, cannes, épées sabres et éventails),
-le café du matin et le vin du soir à partager.
-mon dernier " inutile pas volant" *, le time'sup le "loups garous" un goban et des pierres

                                                    
-la bibliothèque :  "je suis partout",     homo erectus deTonino  Bennaquista, vampires de Thierry Jonquet  + un bouquin de chinois ,
-les vêtements de pluie et de soleil 
-J'ai renoncé au parasol, au poste radio, à l'ordinateur et donc à internet  
je ne sais pas si je vais tenir  !...


 ǝɥɔoɔɔɐ,ɯ ǝɾ sıɐɯ sʇuɐloʌ ɟɹǝɔ uǝ lnu sıns ǝɾ ɹɐɔ ʇuɐloʌ ɟɹǝɔ=*

mercredi 27 juillet 2011

Tautogramme tarabiscoté


   
en réponse (encore) à la consigne #100 du défi du samedi

Tautogramme tarabiscoté…T'zigmund
Taisons toute  la traversée  trainante du Tour.
Taillons nos topinambours  ténus .
Trimballons  tantine  en Tupolev et tapons tonton pour une tontine.
Tartinons le  tiramisu de tarama à la truite.
Titillons les tendres tétons de Tatiana.
Traversons  la Tanzanie  en train tortillard : tristes tropiques...                         Trouons le toit : la tempête trempera les termites.
Traitons la tourista qui tient le touriste aux toilettes : plus terrible que tics, tocs, et tracs.
Traçons trois tangentes et trouvons un triangle.
Travaillons notre taiji  pour toujours trouver la tranquillité
Torpillons le tassé teigneux  tape à l'œil  à talonnettes
Trop tard !


serai déconnecté à la parution de ce texte pour qq jours de camping et taijiquan. donc ne pourrai répondre aux comms avant le lundi.

mardi 26 juillet 2011

ophtalmopénie chronique

 
Eugène vient de dépasser allègrement les quatre vingt dix printemps.
Ses nièces m'ont joué la grande scène du quatre pour  faire passer tonton hors délai avant tout le monde et sans dépassement d'honoraires car le tonton n'est point riche.